
© TK.KIM
Disséminée aux quatre vents du ciel… J’écarte, esquive, ventricules aux aguets.
Peut-être.
Si tu savais…
Mon coeur.
Peut-être a-tu refermé le livre, las de clore les chapitres, les uns après les autres.
Ta page blanche sans l’angoisse du vide… Ma forêt, vierge de toute intrusion.
Ne plus vouloir coucher un seul mot.
J’ai choisi le chlore, l’amer, le sel qui brûle les plaies non pensées, et cette île flottante au bord des déserts mouvants.
La vase n’est jamais loin du lagon.
En quête d’un quelconque souffle, pour apaiser la fièvre avant que le plomb ne vienne abattre les autres “elles”, comme un désordre juste avant la décadence,
tu danses, tu déploies, tu trembles, je m’envoie.
all rights reserved text & photo©TK.Kim
Magnifique!
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Very nice 🙂 I ache.
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Ton verbe poe lisson aussi bien que poe et tic, prend des accents de poe lard ! 😀
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Là où tu es, quelque soit…toujours tu suggères… le don le plus profond de toi !!! Qui pourrait t’enlever tout cela? Pur talent de post et…de posture. Profite bien.
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Write your words
On the paper of life
For they are true words
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I miss you Spleen Sista’ !
J’aime tes mots parce qu’ils sont les tiens.
Bises et chips,
Dawn
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Parfait équilibre 🙂 de cette plastique de rêve et les mots à fleur de (ta) poe, bravo !!
Pas pu mieux faire, Marcaorèle à tout raflé 😀
Bon weekend Kim. Bise.
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