
© TK.KIM
Disséminée aux quatre vents du ciel… J’écarte, esquive, ventricules aux aguets.
Peut-être.
Si tu savais…
Mon coeur.
Peut-être a-tu refermé le livre, las de clore les chapitres, les uns après les autres.
Ta page blanche sans l’angoisse du vide… Ma forêt, vierge de toute intrusion.
Ne plus vouloir coucher un seul mot.
J’ai choisi le chlore, l’amer, le sel qui brûle les plaies non pensées, et cette île flottante au bord des déserts mouvants.
La vase n’est jamais loin du lagon.
En quête d’un quelconque souffle, pour apaiser la fièvre avant que le plomb ne vienne abattre les autres “elles”, comme un désordre juste avant la décadence,
tu danses, tu déploies, tu trembles, je m’envoie.
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